Vivre avec l’incontinence

Jeune, active et incontinente : L'expérience personnelle de Jane

22 Mar, 2009
Jeune, active et incontinente : L'expérience personnelle de Jane

Jeune, active et incontinente : L'expérience personnelle de Jane

Par Teri Brown

Être actif est important pour tout le monde, mais particulièrement pour une personne qui a presque perdu sa mobilité.

Il y a 5 ans, Jane, une mère de 39 ans habitant à Lexington, au Kentucky, et sa fille qui avait alors 9 ans ont eu un accident d'auto qui leur a causé de graves blessures. Jane conduisait et sa fille était assise dans le siège du passager quand elles ont traversé une intersection au moment même où un autre conducteur brûlait un feu rouge. La voiture les a frappées avec une telle force que leur véhicule a été renversé sur le côté.

Heureusement, le duo s'est rétabli après des mois de physiothérapie intensive. Cependant, l'accident leur a laissé une affection permanente : l'incontinence. « Ma fille est incontinente principalement en raison d'ecchymoses et de cicatrices à la vessie », dit Jane. « J'ai eu quelques vertèbres fracturées, ce qui a nui à mes nerfs, et je ne ressens plus le besoin de me rendre aux toilettes. » Toutefois, après avoir passé tant de temps à réapprendre à marcher, mère et fille sont reconnaissantes de n'avoir que l'incontinence comme séquelle permanente.

Pour gérer les fuites urinaires, leurs médecins ont recommandé d'utiliser un cathéter ou de porter des sous-vêtements absorbants, et après avoir évalué leurs options, elles ont toutes les deux décidé d'utiliser des produits d'incontinence. La fille de Jane porte des sous-vêtements GoodNites®, et Jane utilise les culottes de nuit Depend®.

Un mode de vie actif

Après leur longue bataille pour retrouver la mobilité, Jane et sa fille étaient déterminées à ne pas laisser l'incontinence les ralentir. Leurs médecins ont encouragé leurs efforts, et elles ont réussi, bien qu'elles disent que ça n'a pas toujours été facile.

« Il a été difficile pour moi de continuer à faire les choses que j'aime, mais j'y suis arrivée », dit Jane. « Je crois que si je ne restais pas active, je deviendrais solitaire et peu sociable. Pour moi, il est important de sortir, d'être avec les autres et de faire des activités. »

Elle aide aussi sa fille à continuer à faire les activités qu'elle a toujours aimées. « Mes deux filles sont meneuses de claque et [la fille souffrant d'incontinence] joue aussi au volleyball », dit Jane. « Ces activités sont bonnes pour elle, même si elle craint les fuites ou des [sous-vêtements] GoodNites® [mouillés] durant les matches. »

Toujours optimiste

Jane croit que l'expérience a appris plusieurs choses positives à sa fille, dont l'optimisme face à l'adversité. « Je crois que dans son ensemble, cette expérience lui a montré à voir le côté positif des choses, et cet optimisme l'aide dans ses matches de volleyball et son activité de meneuse de claque », dit Jane. « Je crois que mon attitude face à notre problème l'aide, parce que j'ai toujours essayé de prendre tout ça à la légère. Je fais des blagues sur nos couches, et elle trouve ça drôle. Je pense que le fait que j'aborde le sujet positivement l'aide à faire de même. »

L'attitude globale de Jane en est une d'espoir et de courage. Après avoir survécu à un grave accident, composer avec l'incontinence semble presque facile, dit-elle, et elle veut que les autres sachent que l'incontinence n'a pas à mettre fin à un mode de vie actif. « Vous ne devriez rien laisser vous empêcher de faire ce que vous aimez, dit Jane. Acceptez l'incontinence, serrez votre [culotte] Depend® et profitez de la vie! »

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